Qui suis-je ? :
 
Je m’appel Roberto et ne sachant pas quel nom « d’artiste » prendre je décidais un beau jour de faire simple et de m apeler Robert’O O comme Oser, O comme OOOOOOOOO OUI OUI OUIIIIIIIII enfin O quoi !
 
Mon parcours :
 
De formation et de passion je viens du milieu musicale. Pour ce qui est du X un beau jour de novembre 96 je poussais la porte d’un  des plus grand sex shop parisien (qui n'avait pas encore de porte automatique à l'époque) pour demander si il cherchait un vendeur (plus comme une blague que réellement convaincu) et O surprise ce fut une réponse positive. Et me voici Vendeur au CLUB 88 qui m'est trés chere ! Les débuts furent difficiles car je n’y connaissais rien mais de fil en aiguille j'apprend sur le tas. Un beau jour je rencontre des gens déjà introduits dans le milieu de la prod et des tournages, et il se créa une amitié et une complémentarité qui fit que je commence a travaillé pour eux en tant qu’assistant (en gros je portais les valises et les cafés mais faut bien débuté hein !!!). Quelques années plus tard et quelques rencontres plus tard je décide de me lancer dans la réalisation de mon premier film  puis un autre et puis un autre etccc ..... .
Enfin bref me voila réalisateur et j’espère faire plaisir a quelque personne avec mes films.
Jeudi 1 janvier 4 01 /01 /Jan 01:32

Au vue de l’évolution de la profession et de la médiocrité de ce qu’il se fais, après 12 ans à servir le X sous toutes ses formes, de la petites distributions en sex-shop, à la grande distribution chez les éditeurs en passant par les peep-show, les reportages pour des magazines et la ou 3 générations d’actrices me connaissent mieux, la réalisations. Après un parcours jalonnées de joies, de fou rire, d’embuches en tout genre, de rencontre de gens formidable et d’autre moins. Je me rends compte que le métier que j’aimais et que j’appréciais, ne me permet plus de vivre.

 

Quand j’ai commencé ce métier, c’était au début par curiosité, en commençant par être assistant, porter les cafés, les valises, et apprendre des choses. De fil en aiguille et de détails en détails j’ai appris à tourner des films et à faire du montage et tous ceux qui va autour. Je connais tout le circuit d’un film de la préparation jusqu’à sa revente dans les magasins.

 

Lorsque je vois aujourd’hui la tripoté de prestataire qui se lance dans le X avec leur caméscope et leur Windows movie maker, qui prennent un appareil photo numérique et qui shootent comme des malades des photos quelconques et qui grâce à 2 ou 3 fonctions magique de Photoshop se proclament PRO. Je me dis que finalement les anciens ne servent plus a rien avec l’arrivé du PRO…grés. C’est gens la se fient à l’automatisme de leurs appareillages, et ne savent même pas régler une balance des blancs ou ce qu’est une profondeur de champs ! Je me demande ce qu’ils auraient fais d ailleurs à l’époque de la péloche ou ca coutait bonbon de tourner car on stockait moins de photos sur une pellicule que sur une carte SD 2Go et donc évidemment moins le droit à l’erreur !

 

Aujourd’hui le terme PRO comme STARS DU X a été banalisé, tout le monde il est pro tout le monde il est gentil, récemment j’ai vu une itw de quelqu’un qui se disait pro et qui fumait sur son plateau photo chose à ne pas faire tout le monde sait bien pourquoi !

 

Le X est devenu en faite un travail quelconque fais par des gens quelconques ou tout le talent de l’artiste à été remplacer par les belles paroles de gens qui finalement dans 6 a 12 mois seront remplacé par leur copie conforme qui penseront eux même révolutionner le X

 

Je ne me suis jamais targué d’être pro et pourtant mon parcours pouvais peut être le permettre, mais mes budgets me classait plutôt dans les catégories PRO/AM, un intermédiaire entre le pro et l’amateur. Cet intermédiaire n’existant plus trop aujourd’hui  car avec le net on ne sait plus trop qui est qui ou qui fais quoi ! C’est a celui qui communiquera le plus, le mieux et qui aura le plus beau sapin de noël en guise de site web ! Car finalement le X aujourd’hui c’est une affaire de communication on dirait.

 

L’avenir du X est dans la médiocrité, on ne fais plus de qualité mais on fais du contenue, je ne souhaite pas régresser car ce serait synonymes d’échecs, mais j’ai l’impression qu’a part de la médiocrité je n’ai plus rien a apprendre dans le X et je n’ai plus rien a lui donner ! Je regrette juste de ne pas tourner mon dernier film car le scénario me plaisait beaucoup mais il faut savoir dire stop et arrêter les frais.

 

Je vous souhaite à tous une bonne année 2009 mais ce sera sans Robert’ O

 

Robert’ O était, Robert’ O n’est plus j’enlève le costume de Robert’O aujourd’hui pour redevenir le commun des mortels et revenir vers dés cieux moins hypocrites et qui n’ont point été pourri par toutes cette jeunesse qui se feront bouffé elle-même dans quelques années par d’autre jeune si ils sont encore la eux même


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